La semaine dernière j’ai reçu un petit paquet surprise à mon travail : une mystérieuse boîte qui m’a permis de découvrir les produits de Bon&Bon.

Avec quelques collègues nous avons donc testé différentes sucreries telles que le Caramal d’Isigny, le Coquelicot de Nemours ou encore le Cuberdon. Nous avons apprécié le soin apporté au packaging et la petite histoire sur le bonbon que l’on trouve dans chaque paquet.

Saviez-vous par exemple que le Cuberdon, initialement « cul de bourdon » a été inventé en 1873 par un pharmacien de Gand ? N’étant pas belge d’origine, ce bonbon ne me rappelle malheureusement pas des souvenirs d’enfance. En revanche, les bêtises de Cambrai ont en bouche un petit goût de madeleine de Proust !

Bref, Bon&Bon est une chouette initiative sucrée et colorée ! Vous pouvez les suivre sur Facebook ou Twitter et si une chute de glycémie se profile, ils livrent à domicile partout dans le monde !

On recherche mon remplaçant pour les prochaines semaines, pendant mon congé maternité. Un job passionnant !

Ca vous intéresse ? Voici l’offre et la procédure pour postuler !

Manager Internal Communication & Change (H/F)

En novembre dernier, j’avais déjà eu l’occasion de tester quelque chouettes produits de chez SeBIO.

Voici les résultats de mes tests de 10 nouveaux produits.

Cette sélection est axée “Liste de Naissance” puisque SeBIO vous propose d’enregistrer chez eux votre wish list.

Vous hésitez à ajouter un article à votre liste ? Voici mon avis sur ces 10 produits testés  et un code promo de -10% sur votre prochaine commande, à la fin de cet article.

Pour commencer, j’apprécie toujours autant le soin apporté à la livraison. Celle-ci est rapide, l’emballage est soigné et les articles sont bien protégés. Dès le 15 janvier 2015 il sera également possible de recevoir votre commande dans les boxes de bpack. Un sacré avantage pour pouvoir récupérer son colis quand on le souhaite !

Tisane d’allaitement BIO (Holle) 3,20 €

Bracelet baroque Hematite (Nia) 3,95 €

Pourquoi mettre un bracelet sur une liste de naissance ? Eh bien si vous allaitez, il vous sera bien pratique pour vous rappeler quel sein vous avez donné à bébé lors de la dernière tétée !

L’hématite aurait en lithothérapie de nombreuses vertus telles qu’éloigner les ondes négatives ou luter contre la toxicomanie mais j’avoue ne pas avoir pu tester ces aspects ! En revanche, je peux dire que ce bracelet est joli et qu’il tient bien au poignet, ce qui est suffisant pour en faire un bon bracelet d’allaitement !

Compresses d’allaitement jetables (Popolini) 3,90 €

Pendant l’allaitement, il est possible que les seins de maman produisent du lait en dehors des tétées : il suffit d’une émotion ou même du son d’un bébé qui pleure !

Du coup, pour éviter de tacher ses vêtements, mieux vaut utiliser des compresses d’allaitement. certaines mamans préfèrent utiliser des compresses en tissu lavables tandis que d’autres s’orienteront vers les compresses jetables.

L’avantage de ces compresses est qu’elles sont épaisses, possèdent un petit autocollant pour être fixées sur le soutien-gorge et ont même un petit creux pour y loger le téton !

Une bonne solution pour les mamans pressées mais si vous avez le courage d’assurer le lavage/séchage des compresses en tissu, à vous de vous orienter vers cette solution plus économique.

Si vous souhaitez en apprendre plus sur l’allaitement, pourquoi ne pas plonger dans le livre “L’allaitement” de Marie Thirion ? Une bible pour en apprendre des tonnes sur le sujet !

Lingettes humides biodégradables  (Attitude) 11,90 €

Ne pleure plus bébé! (Claude Suzanne Didierjean-Jouveau) (Nord Sud Diffusion) 5,90 €

 

Savon délicat à la glycérine – 100g (Vita Verde) 2,19 €

 

Mon premier réflexe en ouvrant l’emballage de ce savon a été de respirer son parfum. Et là, surprise, il contient des huiles essentielles, élément qui m’avait échappé en sélectionnant ce produit pour mes tests. Une odeur agréable mais qui réveille naturellement la question : est-ce compatible avec bébé ou avec une maman enceinte ? Généralement, on conseille de ne pas utiliser d’huiles essentielles les trois premiers mois, surtout celles qui contiennent des cétones (Eucalyptus mentholé, Menthe poivrée, etc). Ensuite, il est conseillé d’être vigilant sur le type d’huile essentielle et surtout sur le dosage : dans les cosmétiques, l’huile essentielle passe la barrière cutanée dès une concentration de 3%. Chez les bébés, après 3 mois, Julien Kaibeck, spécialisé dans les domaines de la santé au naturel et de l’éco-consommation, recommande de n’utiliser que les huiles essentielles suivantes : lavande vraie, lavandin, camomille noble, bois de rose ou bois de Hô et hélichryse. Attention elles doivent toujours être diluées donc maximum de 30 gouttes pour 100ml ! Puisque le paquet n’explique pas si l’on peut utiliser ou pas ce produit chez le bébé, je préfère être prudente. J’ai contacté Vita verde via leur site pour en savoir plus d’informations mais malheureusement le formulaire de contact ne marche pas et pas de réponse en envoyant un e-mail à l’adresse indiquée. Dommage qu’il y ait un manque d’information sur le sujet car ce savon est peut-être tout à fait adapté à bébé.

Shampoing Douche Bio – Cola (Natessance) 12,90 €

 

Dermo-Nettoyant cheveux & corps – 500ml (Alphanova Bébé) 9,95 €

Massage Hydratant Bien-Être – 125ml  (Néobulle) 13,95 €

Crème pour le change à l’oxyde de zinc sans parfum (Urtekram)

La première année, le bébé est changé environ 6 fois par jour. Compte tenu de cette fréquence, il vaut mieux s’interroger sur les produits que l’on appliquera sur la peau de son enfant pour apaiser ses rougeurs. Ce que j’ai d’abord aimé dans ce produit, c’est que les ingrédients sont naturels et pour près de la moitié, biologiques. Pas de parabène, pas de parfum, pas de colorants, pas de cocktail chimique qui risquerait de déshydrater la peau de bébé ou de créer des réactions cutanées. Bonne nouvelle également, le parabène n’as pas été remplacé par du methylisothiazolinone, un produit au potentiel allergène très élevé.

En conclusion :

Mon article préfére pour une liste de naissance :

L’article que je conseille le moins pour une liste de naissance :

 

Code promo

Nous avons profité de la nuit du réveillon pour enfin tester les services d’Uber. Ce système permet à des particuliers d’utiliser leur véhicule pour transporter d’autres particuliers, à la manière d’un taxi. OK, pour le coup on n’est pas vraiment des early adopters mais mieux vaut tard que jamais !

Pour avoir un point de comparaison, nous avons fait le trajet aller en taxi et le trajet retour en voiture Uber.

L’application Uber est plutôt bien faite : vous entrez vos coordonnées Paypal, vous activez la géolocalisation et l’application vous présente les chauffeurs qui se trouvent près de vous.

Par exemple, imaginons que vous êtes à la gare et que vous aimeriez commander une voiture :

Sans surprise, le prix de la course est le premier avantage de ce système pour l’utilisateur. Pour une course d’environ 5 kilomètres, nous avons payé 12.50 euros en taxi là ou l’estimation du prix chez Uber était de 7.90 euros. A noter que le prix payé avec le système Uber dépend aussi de l’affluence (plus il y a de demande, plus les prix augmentent) et du pourboire que vous laisserez au chauffeur.

Autre avantage pour l’utilisateur, vous avez la possibilité d’écouter votre propre musique pendant le trajet. J’avais sous le coude une petite playlist Spotify qui a fait la joie de nos oreilles pour notre trajet retour.

Viennent ensuite les questions d’éthique : Uber fait-il de la concurrence déloyale aux taxis ? Uber met-il en danger nos données personnelles ? Uber est-il dangereux ? Ces questions mettent en lumière que le cadre réglementaire actuel n’est plus du tout adapté et a du mal à évoluer. A chacun de se faire un avis mais si l’on considère la simple expérience utilisateur, je dirais qu’elle est en tout cas très positive. Reste qu’il faut à présent qu’une solution soit trouvée pour clarifier le cadre d’utilisation de ce service.

Pour se développer, Uber a mis en place une stratégie efficace de growth hacking visant à promouvoir et assurer la croissance rapide de leur service. Parmi leur actions pour gagner de nouveaux utilisateurs, le traditionnel parrainage. Uber proposer à chaque utilisateur de parrainer ses amis. Un bon moyen pour faire parler de soi à moindre frais.

Vous voulez obtenir un crédit de 10 euros sur votre première course Uber ?

Cliquez ici pour obtenir votre code promo.

Edit du 02/01 : Suite à cet e-mail reçu, je retire le lien vers le code promo. Cet article se veut être le témoignage d’une expérience utilisateur, pas une incitation à la fraude, étant bien entendu que mon souhait reste qu’un cadre réglementaire acceptable par tous puisse être mis en place, ce qui prend parfois du temps. 

Ces dernières semaines, j’ai eu l’occasion de tester plusieurs produits de chez SeBIO (c’est à lire ici et ici).

Comme vous avez pu le lire, j’ai vraiment apprécié la qualité de ceux-ci. C’est également un chouette site pour déposer sa traditionnelle liste de naissance.

Nous avons déjà été beaucoup gâtés par nos proches que nous remercions ! La première liste que nous avions été créée a été dévalisée, nous offrant l’opportunité d’en créer une autre avec de beaux jouet et de jolis objets.

Pour accéder à la liste de naissance de notre bébé, il vous suffit de cliquer ici.

Leen a du talent. Graphiste de jour, couturière de nuit. Tout ce quelle touche, pixels ou bouts de ficelle, deviennent des petites merveilles.

Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant ce joli cadeau, cousu par ses soins, qui a rendu Kimchi très jaloux (photo à l’appui).

Le sac comporte de multiples poches, idéales pour glisser son téléphone, son portefeuille et bientôt le nécessaire pour bouger avec bébé (il y a même une pochette pour ranger des lingettes !).

Cristina Cordula, grâce à Leen je suis prête à affronter ton défi pour se faire un look spécial jeune maman !

Vous aimez le sac créé par Leen ? Allez consulter ses créations et suivez-la sur Twitter : elle a de l’or entre les mains !

Leen est aussi active sur Instagram.

Pendant ma grossesse, j’ai lu pas mal de très bonnes choses et également pas mal de très mauvaises choses. Si vous cherchez à vous informer pendant ces 9 mois d’attente, voici les 9 lectures qui m’ont le plus plu.

1. J’attends un enfant

de Laurence Pernoud et Agnès Grison

“Les réponses d’aujourd’hui aux questions de toujours”. En effet j’ai vu ce livre traîner dans la bibliothèque de ma mère que j’étais petite. Un classique qui a donc été mis à jour pour coller à l’état des connaissances actuelles. Cet ouvrage est très informatif : on découvre quelques bases utiles de biologie, psychologie, médecine et on apprend plein de choses ! Les sujets abordés sont les conseils pour la vie quotidienne, l’alimentation préconisée, la surveillance médicale ou encore la préparation à l’accouchement. Le ton est neutre et les auteurs ne prennent pas parti. Le propos est simple mais pas simpliste. Un incontournable quand on ne connait pas le sujet !

2. J’élève mon enfant

de Laurence Pernoud et Agnès Grison

La suite logique de J’attends un enfant, J’élève mon enfant nous aide à nous projeter dans le “quatrième trimestre”. Le livre aborde l’alimentation de l’enfant, son sommeil, les différentes phases de développement, l’éducation ou encore la santé. A la fin de l’ouvrage on retrouve un mémento sur la sécurité sociale, les allocations, la congé après l’accouchement : des informations utiles pour les Français mais qui ne s’appliquent pas à tous les pays. Heureusement, un mémento plus synthétique est quand même disponible pour quelques autres pays francophones tels que la Belgique.

3. La grossesse psychique : L’aube des liens

de Geneviève Bruwier

J’ai découvert ce livre grâce à Nathalie Lebreton qui est journaliste et animatrice dans la super émission Les Maternelles. Il est disponible en version papier mais aussi en version numérique sur l’excellent site de Yapaka qui propose également de nombreuses autres ressources. L’auteur s’intéresse ici au travail psychique intense induit par le fait de devenir parent. En effet, attendre un enfant nous rappelle les parents que l’on a eus, les personnes qui ont jalonné notre enfance et l’enfant que l’on a été. L’auteur met en lumière l’importance de la période  prénatale, ce premier chapitre de la vie, qui s’inscrit “dans une temporalité fondatrice de la vie psychique du sujet”. Bien documenté, le cet ouvrage nous rappelle également ce que Freud, Lacan ou encore Merleau-Ponty ont pu écrire sur cette période de vie avant la vie.

4. Parents futés, bébés ravis

de Ingrid Bayot

Cet ouvrage m’a été conseillé par Lyne. Il comprend certains textes qui ont été publiés dans Le Ligueur, super magazine dont je parle plus bas. Cet ouvrage évoque le processus du devenir parent avec ses bons moments et ses difficultés. L’auteur ne tombe pas dans le piège d’entrer dans les faux débat et au contraire, elle nous met en garde contre l’opposition technologie/humanisation (la médecine aurait déshumanisé la naissance), homme/femme (les hommes auraient toujours voulu dominer les femmes) ou encore présent/passé (dans le temps on n’avait soit disant pas besoin de “tout cela”). Comme souvent, ce qui pose problème ce n’est pas que les choses aient changé, c’est plutôt notre propre rapport aux choses. J’ai aimé que ce livre remette en question pas mal d’idées reçues et nous invite à poser un autre regard sur la parentalité. Parents futés, bébé ravi propose également un bon mix entre l’approche théorique et la dimension pratique.

5. Le ligueur

Petite exception dans cette liste de livres, voici une revue dont m’avait parlé Stéphanie. L’abonnement donne accès à 24 numéros par un et des brochures envoyées en fonction de l’âge du bébé. En plus de cela, adhérer à la ligue des parents permet d’accéder à une base de données de baby-sitters de référence, un service juridique, un accès privilégié à certains événements, etc. Le contenu des articles du Ligueur est intéressant, informatif et terre à terre. J’apprécie également le tons des articles : ni alarmiste obsédé du risque ni baba cool déconnecté de la réalité. Si je compare le contenu du magazine à Bébé & Maman, autre revue que j’avais achetée une fois par curiosité, je dirais que Le Ligueur s’en sort nettement mieux. Les sujets abordés sont globalement les mêmes mais l’approche du Ligueur me convient beaucoup mieux. Cerise sur le gâteau, la mise en page est également nettement plus attractive !

6. Le Choeur des femmes

de Martin Winckler

Ce livre conseillé par mon frère est un roman écrit par Martin Winckler qui est également médecin. Dans cet ouvrage, il montre pourquoi la relation entre le patient et le praticien ne peut pas être uniquement médicale : elle doit aussi être émotionnelle pour pouvoir notamment décrypter tout l’implicite d’une consultation, surtout dans la gynécologie et l’obstétrique. Que veut dire une femme quand elle se plaint de ne plus supporter sa pilule ? Comment appréhender une consultation avec une femme de plus de 40 ans qui souhaite avoir un enfant ? Comment parler contraception avec une femme qui a subi plusieurs IVG ? La manière dont les consultations sont menées met en avant qu’une des qualités essentielle d’un médecin est l’empathie et que pour bien aider les patientes, il ne peut pas se conter d’une approche uniquement rationnelle.

7. L’allaitement

de Marie Thirion

Recommandé par une Emilie, ce bouquin est une mine d’informations pour celles qui cherchent à en savoir plus sur l’allaitement. On y apprend notamment comment fonctionne techniquement l’allaitement (non, les seins ne sont pas des réservoirs à lait), quels sont les avantages de l’allaitement pour le bébé et la maman, comment bien positionner le bébé, et comment sevrer le bébé (et la maman !). Un livre bourré d’astuces et d’informations à connaître pour gagner au trivial pursuit : saviez-vous que le lait de louve est toxique pour les humains et que Romulus et Remus n’auraient donc pas pu survivre s’ils en avaient réellement bu comme le dit la légende ?

8. Bébé dis-moi qui tu es

de Philippe Grandsenne

Coup de coeur pour cet ouvrage reçu à Noël. Encore une fois, ce qui m’a plu dans ce petit livre, c’est qu’il a été écrit par un médecin qui ne se contente pas de parler des bébés avec un axe médical. Il laisse aussi une grande place à l’aspect émotionnel et montre que ces petites choses fragiles sont également des forces de la nature. Il rassure également les futurs parents en leur expliquant qu’ils ont les ressources en eux pour comprendre les besoins de leur enfant et pour y répondre. L’auteur explique que la période des 100 premiers jours où le nouveau-né passe au statut de nourrisson est comparable à la phase de l’adolescence : de nombreux changements, une multitude de compétences méconnues et également quelques tumultes. Chaque enfant est unique et c’est chaque nouveau-né qui nous enseignera ce que nous devons savoir : il faut croire en soi et en son bébé. “Déposons nos savoir théoriques et donnons à notre ignorance statut d’outil de connaissance” exhorte l’auteur. Regarder vivre son bébé pour le comprendre tel qu’il est, voilà l’enseignement de cet petit traité d’antipuériculture. Le livre se clôture par quelques conseils et astuces utiles pour les parents débutants… voire même les plus expérimentés !

9. Ne pleure plus bébé

de Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau

J’ai déjà parlé de Ne pleure plus bébé dans cet article.  Ce petit livre sur le maternage proximal explique qu’il existe des moyens d’apaiser son bébé pour qu’il pleure moins telles que l’allaitement ou le portage. Le livre a le mérite de présenter une approche positive où l’on ne fait pas pleurer bébé pour rien et où l’on tente de créer pour lui un environnement rassurant. Quelques astuces sont également présentée en fin d’ouvrage. Rapide à lire et plein de bon sens, un livre bourré d’énergie positive !

La grossesse n’est pas finie et il me reste encore quelques ouvrages sur ma liste de lecture. Si vous en avez à me recommander, je suis preneuse ! Dans ma liste de choses que j’aimerais lire, il y a encore du Marcel Rufo (j’adore son émission Allo Rufo !), The Wonder Weeks et What to expect the first year qui m’ont été conseillés par Aneta et Un sommeil paisible est sans pleurs, conseillé par Flexyflow, qui est en cours de livraison et devrait arriver dans les prochains jours.

Une prochaine fois je vous parlerai des lectures dont je me serais bien passée pendant ma grossesse !

Dans un dernier article, je vous parlais des livres que j’ai particulièrement aimés pendant ma grossesse.

En revanche j’ai beaucoup moins accroché à toute une série de lectures. Je ne vais pas toutes les citer mais de manière générale, ce qui m’a le plus souvent déplu est le manque de documentation pour écrire le livre, les clichés et lieux communs, le côté anxiogène ou encore la posture trop ésotérique et marginale à mon goût. Voici une sélection de trois lectures que je ne recommanderais pas à une amie, selon la formule consacrée. La liste n’est malheureusement pas exhaustive.

Partir de l’exemple pour démontrer une généralité ?

Première déception, Le cahier grossesse des paresseuses de Frédérique Corre-Montagu : j’avais beaucoup aimé les illustrations, très mignonnes et amusantes et le fait que le livre détaille ce qui se passe dans la ventre de la maman semaine après semaine.

En revanche, au fil de la lecture (deux pages par semaine, un rythme pas trop intense donc), j’ai eu le sentiment de lire toujours la même chose : “alors vous avez trouvé le prénom ?” ou bien “cette semaine, bébé grandit”. Pas assez d’information à mon goût et quand il y en a, elles manquent de contexte. Par exemple, semaine après semaine, la taille et le poids du bébé est indiquée mais ces données auraient gagné selon moi à être présentées de manière plus générale car chaque cas est unique : pourquoi pas donner comme référence un fruit comme cela se fait parfois ? Les généralisations sont dangereuses : chaque femme est unique, tout comme chaque grossesse.

De plus, certains conseils m’ont vraiment surpris. Par exemple, semaine 27 “Arrêtez le sport si vous ne voulez pas accoucher plus tôt que prévu”. J’ai demandé l’avis de mon médecin qui m’a dit qu’au contraire, le sport était excellent sauf dans certains cas où la maman est informée.

Au fil des pages, j’ai eu l’impression de lire le carnet de grossesse d’une femme en particulier et je ne me suis pas retrouvée dans les situations décrites. Peut-être parce que j’ai la chance d’avoir une grossesse qui s’est très bien passée et que du coup je n’ai pas envie de lire tout le catalogues des horreurs qui est listé de pages en pages.

Dommage, ce livre s’annonçait prometteur mais j’ai été déçue par son contenu, trop simpliste et parfois trop alarmistes.

Et avec ceci, vous reprendrez bien un peu de lieux communs ?

Autre déception, le livre 120 astuces pour une grossesse sereine de Marjolaine Solaro. J’ai d’ailleurs pour l’anecdote partagé un passage du livre avec mon kiné qui m’a demandé si la source était Le journal de Spirou, c’est pour dire… Beaucoup de pages et de blabla ou pas grand-chose avec des conseils qui sont le bon sens même. Morceaux choisis :

– “dormir sereinement est la clé pour être en forme” (p.51 – Oui ? Je pensais que le café au redbull m’aiderait à compenser mes nuits en boîte)

– “les accessoires seront plus qu’utiles pour égayer votre silhouette de grossesse” (p.86 – Les bijoux ne sont donc pas contre indiqués pendant la grossesse ? Ouf !)

– “si vous avez déjà un ou plusieurs enfants, il est plus adroit de leur annoncer la grossesse avant qu’ils en entendent parler par des personnes extérieures ou qu’ils le devinent seuls” (p.93 Et moi qui comptait leur faire la sortir en revenant de l’hôpital…)

– ou encore “la dernière semaine, libérez votre espace de travail de vos effets personnels et faites la poussière, c’est plus sympa pour votre remplaçant.” (p.124 – Youpi ! Grâce à ce conseil ma remplaçante ne se retrouvera pas avec les manches qui collent dans le jus de l’orange que j’ai pelée il y a quelques jours)

Bref, si vous connaissez une femme enceinte, ne lui offrez pas ce livre, elle risque d’être vexée.

Cette vidéo va vous prouver que vous prenez sans le savoir des risques depuis le début de votre grossesse. Vous n’en croirez pas vos yeux.

Parfois, je me demande si Doctissimo & Co utilisent des générateurs de titres pour trouver celui qui sera la plus racoleur. Je n’ai rien en soi contre le principe du clickbait, qui n’est au final qu’une suite logique aux grands titres de la presse à scandale. Tant que cela concerne une vidéo de chat trop mignon ou un tutoriel pour voler une part de pizza sans que personne ne s’en rende compte, cela me va. En revanche quand ces titres concernent des articles qui traitent de la santé, cela me pose un problème. L’appât du clic l’emporte malheureusement trop souvent sur la qualité du contenu. Et comme ces saletés de sites internet sont souvent bien référencés, une simple recherche dans Google vous proposera dès la première page d’accéder au pire d’Internet, de Doctissimo à Au féminin. Cette situation m’a fait prendre une nouvelle habitude : exclure de toutes mes recherches les résultats provenant de Doctissimo (il suffit de taper “-doctissimo”  à côté du terme sur lequel vous souhaitez faire une recherche).

Le problème de Doctissimo & co est plus large que leur simples articles. Pire, il y a leurs forums qui malheureusement sont un lieu de discussion pour beaucoup de femme qui pour de multiples raisons, notamment socio-économiques, ne peuvent pas aller chez le médecin. Cette situation est d’ailleurs bien décortiquée dans le livre Le Choeur des Femmes et où Martin Winckler présente un médecin qui à côté de son travail passe du temps à répondre à des questions sur un forum médical, de manière bénévole. C’est d’ailleurs ce qu’il a lui-même fait pendant très longtemps sur son site internet, bourré d’infos intéressantes.

Heureusement, tous les sites d’information médicale (et tous les forums) ne sont pas à jeter, loin de là. Il existe de nombreuses références anglophones ou francophones qui méritent que l’on s’y attarde. Par exemple, le site d’Allo docteur a le mérite de vulgariser les informations et de garder un ton assez neutre. Sur smartphone, il existe également toute une série d’apps plutôt bien faites telles que Pregnancy week by week, Babycenter – my pregnancy today ou encore What to expect.

Si vous avez aussi des lectures que vous déconseillez pendant la grossesse ou quand bébé est là, faites-le moi savoir ! Cela m’évitera de perdre mon temps et mon énergie dans de vaines lectures !

Une des activité amusante quand on attend un bébé, est la réalisation des faire-parts et des ballotins de dragées. En Belgique il est en effet courant d’offrir ces bonbons à la naissance d’un enfant.

Pour les faire-part, nous avons fait appel aux talents de mon frère qui a lui-même dessiné des petits oiseaux qui gazouillent pour la naissance de Mathilda. Il nous a proposé une première version que nous avons beaucoup aimée (en haut à gauche de l’image).

Finalement nous avons choisi de ne pas mettre le nom du bébé sur la couverture pour que cela ne soit pas redondant avec le texte présent à l’intérieur. Nous avons donc opté pour un hashtag représentant notre état d’esprit du moment. Et nous n’avons pas non plus indiqué le deuxième prénom de Mathilda pour éviter la confusion. Un petit test d’impression, sans la date de naissance car nous ne savions pas encore qu’il s’agirait du 10/02 et hop, le bon à tirer était validé !

Concernant l’impression, nous nous sommes tout d’abord rendus chez Le Typographe, un imprimeur à Bruxelles qui propose de magnifiques impressions. Malheureusement, leur méthode de travail ne leur permettait pas d’imprimer l’image car la technique qu’ils utilisent s’apparente à celle des tampons. En tout cas leurs réalisations sont vraiment magnifiques !

Du coup, pour l’impression des faire-parts, nous nous sommes tournés vers Gelato Cloud qui nous a permis d’intégrer à la carte nos propres illustrations. La livraison est assurée en 48H, ce qui est un excellent délai.

Nous avons aussi profité de l’occasion pour faire réaliser par My Dear Paper un tampon avec notre adresse.

Cela nous a d’ailleurs permis de nous rendre compte qu’il n’existe pas de convention européenne concernant la manière de rédiger une adresse. Met-on le numéro de rue au début ou à la fin ? Le code postal doit-il être précédé ou pas de la lettre du pays ? En fonction de l’endroit où vous vivez, toutes ces conventions sont différentes. Quel casse-tête ! En tout cas nous aimons beaucoup le rendu de ce tampon encreur, à utiliser avec une encre unie ou une encre dégradée… en fonction du destinataire !

N’ayant aucune expérience en ce qui concerne les ballotins de dragées, j’ai demande conseil sur Twitter pour savoir où je pourrais me fournir en matériel. J’avais déjà regardé ce qui était proposé sur Amazon mais malheureusement beaucoup de vendeurs ne livraient pas en France. Ebay proposait aussi des cartons et du ruban mais en provenance de Honk-Kong donc malheureusement, le temps de livraison était trop long par rapport au temps qu’il nous restait avant la naissance de Mathilda. J’ai donc suivi les conseils que l’on ma donnés sur Twitter et je me suis rendue dans le magasin Ava. Le choix de cartons et rubans et très important et il y a aussi une petite vitrine avec des exemples de création. C’était donc très pratique pour choisir quelque chose qui nous plairait vraiment.

Une fois le matériel acheté, il a fallu monter les petites boîtes, les remplir de dragées, ajouter une petite étiquette et fermer le tout avec un ruban. C’est un peu long mais si on fait cela devant une bonne émission (au hasard, Les Maternelles), cela reste plaisant ! Comme les initiales de Mathilda sont M.M. et que son trigramme est MMS nous avons mis des M&Ms dans les petits ballotins.

Comme quoi, la naissance d’un enfant est une chouette opportunité pour s’initier à de nouveaux projets créatifs !

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L'employé travaillant à domicile est un collaborateur zélé : c'est ce que démontre une enquête réalisée par le prestataire de services HR Securex chez 922 personnes. 86 % des employés travaillant occasionnellement à domicile prestent au moins autant d'heures au travail que lors d'une journée habituelle passée au bureau. 92 % accomplissent autant, voire davantage de missions. Le télétravail peut en outre contribuer à diminuer le nombre d'arrêts pour cause de maladie : même s'ils sont malades, 62 % des employés continuent en effet d'assumer leurs tâches professionnelles à domicile.

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Cet article a été rédigé par Corine de Softibox. Les plateformes collaboratives en ligne et leur option de messagerie instantanée

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